Se rapprocher
Voici le calendrier que nous essayons de tenir à jour, au plus proche de la réalité, vous pouvez le suivre ici.
Cliquez sur les évènements qui y sont inscrits !* : Il y a un message pour vous *
Auteur : laetitiaangot
MEILLEURS VOEUX 2020
There is such a thing as society
PASSIONS FORMAT 13 MINUTES
DIAPORAMA
LES PRATIQUES DE LA PERMANENCE
en partenariat avec l’Espace de Vie Social 93 Chapelle
>>>> La Deuxième semaine >>>>>>>> des vacances de FEVRIER<<<<<<<<<< <<<<<<<<< DU 29 AU 4 Mars >>>>>>> >>>>>>> A l'ESPACE DE VIE SOCIAL> 93 CHAPELLE-PARIS>>>>>>>>>>>>>>>>
*PRATIQUES ADULTES Tout age, toutes conditions physiques, aucune technique demandée ou privilégiée >>>Le lundi 29, mercredi 2 et jeudi 3 de 19H à 21H ; >>>Le mardi 1 et vendredi 4 de 18H à 20H
*PRATIQUES JEUNES A partir de 10 ans >>>Du lundi 29 au mardi 4 de 16H 18H
*OUVERT ET GRATUIT AUX HABITANTS DE LA PORTE DE LA CHAPELLE
*INSCRIPTION NECESSAIRE PAR MESSAGE TEXTE 06 81 34 19 72 / ou PAR MAIL leslaaccs@gmail.com/ ou auprès de MARYVONNE METAYER à L'Espace de Vie Social du 93 rue de la Chapelle
Vidéo « Des formes pour vivre l’environnement »
Ci-après un lien vidéo vers la communication produite à l’EHESS lors du colloque
« Des formes pour vivre l’environnement
-Théorie, expérience, esthétique et critique politique »
Elle présente la recherche qui sous-tend la permanence chorégraphique créée porte de La Chapelle dans le 18ème à Paris.
- Au début : présentation des intervenants -cela permet de se rendre compte du cadre dans lequel nous intervenons
- Puis une première communication
- A 26 min : notre communication commence
- Vers 30 min :
-Zoé Hagel, urbaniste éco-sociologue danse,
-Laetitia Angot chorégraphe développe les questions qui sous-tendent son travail.
Mémoires de La Table Chorégraphique le 6 février 2016 avec la Bonne Tambouille Place Mac Orlan Porte de La Chapelle Paris 18
Pendant que vous lisez vous pouvez écoutez The Roots ici ! Revenez sur la page ensuite !
C’était ce 6 février ! Joie !
La Table Chorégraphique était présente Place Mac Orlan pour inventer dans les marges "La Bonne Tambouille", marché vivant et pop ! des Danses de Peu, des Danses du Milieu !
Des danses, Appelées par des lectures, Des danses Nourries à des questions et des ressentis, Des danses Improvisées de rencontres, Métissées de tentatives de dire, Pétries par The Roots, Steve Coleman, Robert Wyatt, Bob Dorough ! De quoi se réchauffer ensemble !
Un grand Merci à Jean-Michel Susini, à François Loiseau, à Mary Hingrai, à Anita et à Illiès !
Merci à tous les participants ! Passants ! Habitants et Commerçants du quartier ! Pour leur accueil, leur joie, leur curiosité !
Merci à toute l'équipe de La Bonne tambouille !
Prochain RDV le 12 MARS !
Pendant que vous lisez la suite vous pouvez aussi écouter Ici cette fois Bob Dorough !
A La Bonne Tambouille il y avait aussi :
- de la Vente de fruits et légumes de saison issus de l’agriculture raisonnée, avec les associations Alinéa et Aide-Moi Si Tu Peux.
- un atelier de cuisine avec la préparation d’une soupe avec l’association Hyper Social Bio Club.
- un atelier de semis proposé par Les Gens de Cottin et Vergers Urbains
- l’inauguration de Mam’ayoka, La cuisine du monde à côté, avec dégustation, exposition et atelier de cuisine pour les enfants et leurs parents.
- la Présentation de la démarche du Budget Participatif avec la Mairie du 18e.
et la Permanence Chorégraphique Porte de la Chapelle avec sa table chorégraphique !
BALLET / ART REVIEW / Marie Darrieussecq / Mai 2012
PARIS. DARRIEUSSECQ, MARIE // Art Review; May2012, Issue 59, p29 The article reviews a performance artwork that took place in Paris, France, which featured a kinetic sculpture by Arnaud Vasseux and dance by Laetitia Angot.
Ca se passe dans un entrepôt désaffecté le long des voies ferrées, derrière la Gare du Nord, dans le squat associatif du Théâtre de verre. Il y a quelques objets naïfs, des mosaïques en capsules de bière, une sympathique cantine, et puis une salle de bonne taille, aux murs couverts de tissu blanc. Une sculpture cinétique d’Arnaud Vasseux tourne à vitesse constante, suspendue à un moteur électrique. C’est un cylindre translucide et très souple en polyéthylène, de 3,30 m de haut, intitulée « Tangente ». Cette sculpture « s’adresse », comme dit Vasseux, à un seul danseur, en l’occurrence une danseuse, Laetitia Angot, 33 ans, dans la mouvance de Pina Bausch. Pendant une trentaine de minutes, Laetitia Angot va tenter une approche de cet objet qui lui oppose une résistance têtue. C’est un récit dans l’espace : une femme convoite un long objet, transparent mais opaque, tournoyant mais impassible, souple mais impénétrable. Un objet fatal. Ça donne un « Ballet » sur fond de silence et de dépouillement. Vêtue sobrement d’un pantalon et d’une blouse flottantes, la danseuse tente d’abord le dialogue par imitation, elle gonfle son corps gracile ; en apnée, bras écartelés, joues distendues, bouche ouverte à craquer, nez devenant rouge et clownesque : sa danse commence comme une performance physique à la limite du grotesque. Notre grenouille de la Fontaine est d’une indécence bien particulière : elle cherche le contact, mais délaisse radicalement les codes habituels de la séduction féminine. Il lui arrive de se détourner, de faire mine d’ignorer l’objet, mais sa danse n’est pas réductible à la psychologie amoureuse : « l’indécence » est celle d’une femme désirante qui prétend à une gestuelle universelle sur deux corps mis en présence. Elle saute pour se grandir, s’érige puis s’amollit, matière physique en transformation. Elle tournoie avec ironie, s’accroupit, se moque et enrage et s’apaise et s’efforce encore. Elle ne touche pas l’objet, mais tout geste d’approche déclenche un courant d’air qui fait frissonner, palpiter ou reculer le polyéthylène en rotation. Elle émet des sons, ne parle ni ne crie mais invente une langue-chant, une glossolalie qui rappelle les travaux d’une Susan Hiller. On croit parfois entendre « c’est pas possible » ou « OK OK OK » : entre l’oiseau qui caquette et le souffle. Ce n’est pas de la parole, c’est de la tension inassouvie. Des lambeaux de danse, de burlesque, de mime, de butô, d’impulsions théâtrales s’enchaînent. C’est la mise en scène d’un affolement passionnel, d’un « comportement inapproprié », mais codifié par la danse. Le sifflet d’un train réel se fait entendre au moment où la danseuse s’immobilise, bras levés : joli moment de kairos, qui nous fait réentendre le silence. Et pose la question d’un lieu parisien plus institutionnel, qui accueillerait la marginalité de ce spectacle très habité mais sans moyens autres qu’artistiques. Laetitia Angot vient aussi de créer NOMME, pièce chorégraphique pour danseuse et voix enregistrée, co-écrite par Vincent Poymiro. BALLET a été présenté à la Péniche Antipode à Paris le 11 octobre 2011, au Théâtre du Granit à Belfort le 16 janvier 2012, au Théâtre de Verre à Paris le 16 février 2012, et sera présenté au Festival Nouvelle Danse de Strasbourg –(Pôle Sud, Frac Alsace) le 1er Juin 2012. MARIE DARRIEUSSECQ
Bienvenue aux LAACCs
VIDEO : Les LAACC / Laetitia Angot dans le cadre des Ateliers d’Alphabétisation / Scène Nationale de Belfort
Les LAACC sont les laboratoires d’actions artistiques et de créations chorégraphiques créés à l’initiative de la chorégraphe Laetitia Angot dans les villes de Paris, Belfort et Marseille. Ces laboratoires sont ouverts à la population de chaque ville et sont voués à la création de pièces chorégraphiques au sein de ces territoires dans une attention permanente à l’ouverture, au décloisonnement, au métissage.